À Paris, la plus grosse vente aux enchères de sneakers d’Europe
La plus grosse vente aux enchères de sneakers d'Europe, c’était le 15 mai à Paris. Brut y était.
“On fait passer un objet de désir ponctuel à un objet de collection”
Le 15 mai 2022 s’est tenue une immense vente aux enchères de sneakers à Paris. Parmi les personnes présentes: beaucoup de collectionneurs, vendeurs comme acheteurs, des curieux, des fans de sneakers ou des acheteurs pour particuliers. “Je suis personal shopper pour particuliers et revendeur de produits édition limitée. Je m'occupe de trouver la paire qu'ils recherchent, ou leur proposer des nouveaux modèles qui sortent”, explique Augustin.
Sneakers: Tu matches ou tu passes ? Avec Tonton Gibs et Lenna Vivas
Les ventes aux enchères de baskets, cela existe depuis plusieurs années aux États-Unis et sur Internet. Une paire portée par Michael Jordan s'est ainsi récemment vendue près de 1,5 million de dollars. “Les collectionneurs nous confient les pièces avec cette idée de légitimer leur passion”, révèle Alexandre Millon, commissaire-priseur. “On fait passer un objet de mode, de désir ponctuel, à un vrai objet de collection, qui fait partie du marché de l'art. Et c'est très clairement un bénéfice considérable."
Il gagne sa vie en réparant des baskets usées
“On fait passer un objet de désir ponctuel à un objet de collection”
Le 15 mai 2022 s’est tenue une immense vente aux enchères de sneakers à Paris. Parmi les personnes présentes: beaucoup de collectionneurs, vendeurs comme acheteurs, des curieux, des fans de sneakers ou des acheteurs pour particuliers. “Je suis personal shopper pour particuliers et revendeur de produits édition limitée. Je m'occupe de trouver la paire qu'ils recherchent, ou leur proposer des nouveaux modèles qui sortent”, explique Augustin.
Sneakers: Tu matches ou tu passes ? Avec Tonton Gibs et Lenna Vivas
Les ventes aux enchères de baskets, cela existe depuis plusieurs années aux États-Unis et sur Internet. Une paire portée par Michael Jordan s'est ainsi récemment vendue près de 1,5 million de dollars. “Les collectionneurs nous confient les pièces avec cette idée de légitimer leur passion”, révèle Alexandre Millon, commissaire-priseur. “On fait passer un objet de mode, de désir ponctuel, à un vrai objet de collection, qui fait partie du marché de l'art. Et c'est très clairement un bénéfice considérable."
Il gagne sa vie en réparant des baskets usées