Le breakdance, c'est ça

"J'ai appris à danser dans les gares, les cages d'escalier. C'était vraiment un moyen de s'exprimer" Le breakdance, c'est ça.

Le breakdance, c'est ça


"J'ai appris à danser dans les gares, les cages d'escalier. C'était vraiment un moyen de s'exprimer" Le breakdance, c'est ça.


La naissance de break


Très proche du genre Hip-Hop, le break a vu le jour aux États-Unis lors de soirées dans lesquelles des Dj’s mixaient des break de musique notamment ceux de James Brown. “Et des mecs ont commencé à se jeter au sol”, ajoute un des danseurs. Des battles se sont créés entre des communautés jusqu’à s’étendre partout dans le monde. Le break a donc été influencé par plusieurs genres de musiques, du jazz, à la funk en passant par la soul. James Brown a, quant à lui, apporté les rythmes dansants de soul et de funk.


Un sport encore peu féminisé


Dans ce sport, les filles se font très rares. L’objectif serait donc, à travers ces nouveaux circuits, de développer et à produire des “b.girls.” Omar, breakeur et cofondateur de Last Squad explique : “Il y a une petite de 8 ans qu’on a embauchée dans le groupe avec qui on va bosser. C’est quand même compliqué à trouver une b.girl qui fait de la compétition.”


Pour la première fois de son histoire, le breakdance sera représenté parmi les disciplines des Jeux Olympiques de 2024.


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Brut.