Le confinement fait baisser la pollution

Pendant ce temps-là, un peu partout dans le monde, la pollution baisse : c'est l'heureuse conséquence du confinement. Avant, après.

Covid-10 une baisse de la pollution constatée dans plusieurs villes


Certaines zones confinées connaissent une baisse importante du taux de NO2 dans l’air.


Séoul, Corée du Sud


La pollution de l’air a visiblement diminué depuis que les autorités ont demandé aux 9 millions d’habitants de limiter leurs déplacements à la fin du mois de janvier à cause du Covid-19. La ville, qui bénéficie aussi de la chute des émissions de son voisin la Chine, a vu baisser son taux de NO2, un polluant dû au transport routier et à l’activité industrielle.


Italie


Le pays connaît le même phénomène. Ici, les mesures de confinement ont été imposées début mars et ont fait chuter les taux de NO2 dans l’air de 40 %.


Paris, France


Le trafic routier est presque nul depuis que la population a été confinée à cause du Covid-19, le 17 mars. En Île-de-France, le taux de NO2 a chuté de plus de 60 %. Cependant, les particules fines provenant du chauffage des habitations et de l’agriculture sont toujours très présentes dans l’air.


New-York, États-Unis


On commence à observer une amélioration de la qualité de l’air. Les émissions de NO2 ont chuté de plus de 50 % par rapport aux niveaux habituels.


Los Angeles, États-Unis


Dans cette ville connue pour ses embouteillages et sa dépendance aux voitures, les avenues sont vides. Le 18 mars à 17h, l’heure de pointe habituelle, le trafic était 71 % plus rapide que d’ordinaire.


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Brut.