Des élèves de Pantin traversent la Normandie à vélo
Pour présenter leur pièce de théâtre sur l’écologie, ces élèves d’un collège situé à Pantin, près de Paris, ont décidé de traverser la Normandie à vélo. Voici leur projet.
“Je me dis que c’est une aventure qu’on ne peut vivre qu’une seule fois dans notre vie”
Ces 22 élèves viennent du collège Jean Jaurès de Pantin, en Seine-Saint-Denis. Ils parcourent 300 kilomètres à vélo à travers la Normandie, depuis Cherbourg jusqu’au Mont-Saint-Michel. C'est le projet Jaurès à vélo. “Je suis excitée et stressée en même temps. Parce que c'est une aventure que je fais pour la première fois, et je voulais partir en Normandie aussi”, confie une élève.
Inde : une école gratuite pour les élèves qui recyclent des déchets
Cette idée de traverser la Normandie en vélo, elle vient d’un ancien professeur d’EPS du collège. “Il a été muté à Jaurès à Pantin et il a pensé à ça parce qu'il était un peu spécialiste de tout ce qui était activité de pleine nature”, explique Marine Bellot, professeure d’EPS. Lancé en 2013, de nombreux enseignants se sont par la suite greffés au projet. “On pousse énormément d’élèves à candidater, surtout ceux qui sont un peu en décrochage, des élèves difficiles, des élèves dont on sent qu'ils s'éloignent un peu. Et ça crée un groupe et le but, c'est de les amener ici.”
Leur école maternelle, c'est la forêt
“Je me dis que c’est une aventure qu’on ne peut vivre qu’une seule fois dans notre vie”
Ces 22 élèves viennent du collège Jean Jaurès de Pantin, en Seine-Saint-Denis. Ils parcourent 300 kilomètres à vélo à travers la Normandie, depuis Cherbourg jusqu’au Mont-Saint-Michel. C'est le projet Jaurès à vélo. “Je suis excitée et stressée en même temps. Parce que c'est une aventure que je fais pour la première fois, et je voulais partir en Normandie aussi”, confie une élève.
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Cette idée de traverser la Normandie en vélo, elle vient d’un ancien professeur d’EPS du collège. “Il a été muté à Jaurès à Pantin et il a pensé à ça parce qu'il était un peu spécialiste de tout ce qui était activité de pleine nature”, explique Marine Bellot, professeure d’EPS. Lancé en 2013, de nombreux enseignants se sont par la suite greffés au projet. “On pousse énormément d’élèves à candidater, surtout ceux qui sont un peu en décrochage, des élèves difficiles, des élèves dont on sent qu'ils s'éloignent un peu. Et ça crée un groupe et le but, c'est de les amener ici.”
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