Comment l'être humain a façonné la planète
Jamais la planète n’avait été sous l’emprise d’une seule espèce. C’est l’Anthropocène, l’âge de l’homme. Et ça pourrait être le dernier.
Le documentaire "Anthropocène“ : un écosystème dominé par l'homme
Aujourd’hui, l’être humain domine tous les écosystèmes de la Terre. Le documentaire "Anthropocène : l’Époque Humaine” a pour objectif de montrer une nature dominée par l’homme. Nicholas de Pencier et Jennifer Baichwal souhaitent ainsi montrer une planète, transformée en très peu de temps.
D’après Nicholas de Pencier, l’Anthropocène correspond à l’ère géologique provoquée par la civilisation humaine, lorsque la planète a franchi ses limites naturelles. Ainsi, ce documentaire explore des régions et des populations touchées par l’industrialisation. “On a délibérément cherché des lieux choquants”, explique la co-réalisatrice. Car en effet, les humains ont mené à la perte de 83 % des mammifères sauvages, 50 % des plantes et détérioré près de 40 % de toutes les terres agricoles.
“On arrive à un stade de prise de conscience générale”
Grâce aux jeunes militants qui œuvrent pour sensibiliser le public aux questions climatiques, les réalisateurs gardent espoir. Nicholas de Pencier et Jennifer Baichwal souhaitent que leur projet ait une portée internationale, sans pointer du doigt tel ou tel pays. Ainsi, ils espèrent apporter leur contribution grâce à ce film, à l’échelle afin d’éveiller les consciences.
Le documentaire "Anthropocène“ : un écosystème dominé par l'homme
Aujourd’hui, l’être humain domine tous les écosystèmes de la Terre. Le documentaire "Anthropocène : l’Époque Humaine” a pour objectif de montrer une nature dominée par l’homme. Nicholas de Pencier et Jennifer Baichwal souhaitent ainsi montrer une planète, transformée en très peu de temps.
D’après Nicholas de Pencier, l’Anthropocène correspond à l’ère géologique provoquée par la civilisation humaine, lorsque la planète a franchi ses limites naturelles. Ainsi, ce documentaire explore des régions et des populations touchées par l’industrialisation. “On a délibérément cherché des lieux choquants”, explique la co-réalisatrice. Car en effet, les humains ont mené à la perte de 83 % des mammifères sauvages, 50 % des plantes et détérioré près de 40 % de toutes les terres agricoles.
“On arrive à un stade de prise de conscience générale”
Grâce aux jeunes militants qui œuvrent pour sensibiliser le public aux questions climatiques, les réalisateurs gardent espoir. Nicholas de Pencier et Jennifer Baichwal souhaitent que leur projet ait une portée internationale, sans pointer du doigt tel ou tel pays. Ainsi, ils espèrent apporter leur contribution grâce à ce film, à l’échelle afin d’éveiller les consciences.