"Ne m’associez jamais, moi ou ma musique, à votre programme politique inhumain", a ajouté la chanteuse, en réponse à la publication de la présidence américaine.
Dans la courte vidéo publiée par la Maison Blanche, on peut voir des personnes protestant contre la police de l'immigration, puis des agents fédéraux procédant à des arrestations, avec en fond sonore le morceau "Juno", sorti en 2024.
Une porte-parole de la Maison Blanche, Abigail Jackson, a réagi à la publication de Sabrina Carpenter en déclarant: "Nous ne nous excuserons pas d'expulser de notre pays des meurtriers, violeurs et pédophiles, criminels dangereux entrés illégalement", jugeant "stupide" toute personne s'opposant à cette politique.
Des précédents
Sabrina Carpenter n'est pas la première artiste à protester contre l'utilisation de sa musique par Donald Trump et ses équipes.
Le chanteur Kenny Loggins a récemment exigé le retrait d’une vidéo publiée par le président qui utilisait son hit "Danger Zone", issu du film "Top Gun", pour accompagner des images générées par intelligence artificielle (IA) le montrant en pilote de chasse, larguant des excréments sur des opposants politiques.
En 2024, Céline Dion avait condamné l’usage non autorisé de l'un de ses titres, "My Heart Will Go On", dans un clip de campagne. Même chose pour Beyoncé, la même année, avec son morceau "Freedom".








