Un jour avec Amélie Challeat
Mère de deux enfants et salariée d'un grand groupe de cosmétiques, elle a créé sa marque et un compte Instagram dédié à la maternité. Au quotidien, Amélie Challeat jongle avec plusieurs vies. Brut l'a suivie le temps d'une journée. En partenariat avec Chromebook.
“Shéérazade est née extrême prématurée à 26 semaines de grossesse”
Directrice de communication d’un grand groupe de cosmétiques, cheffe d’entreprise, et créatrice d’un compte Instagram sur la maternité, Amélie Challeat est mère de deux enfants. Sur Instagram, elle a notamment partagé les premiers mois de sa fille Shéérazade, née prématurée. “Shéérazade, elle est née extrême prématurée à 26 semaines de grossesse. Elle a passé sept semaines en réanimation et quatre mois à l'hôpital en tout. Ça a été des moments très intenses et très durs où elle était vraiment entre la vie et la mort, où on était collé à la couveuse en réanimation. Elle a besoin de soins, on a entre deux et trois rendez-vous médicaux par semaine. Donc j'ai mis ma carrière sur pause pour passer plus de moments avec elle” explique Amélie Challeat.
Jessica Thivenin raconte son éprouvante maternité
Amélie Challeat a lancé la marque “Allez l’amour” qu’elle associe à d’autres marques pour créer des collections capsules. ““Allez l'amour” à la base, c'était plus une blague, c'était plus quelque chose que je disais comme ça un peu tout le temps en rigolant. Avec l’épreuve qu'on a traversée quand Shéérazade a été hospitalisée, c'est pas mal devenu notre mantra. Et moi je racontais pas mal sur Instagram ce qui nous arrivait et ça a pris un peu d’ampleur où les abonnés demandent un peu des choses avec le message “Allez l’Amour””. Pour l’aider dans son quotidien, la jeune femme utilise Chromebook : “Quand on a des enfants avec des âges différents, on n'a pas forcément le temps de tout vérifier. C'est tellement pratique d'avoir le Family link qui de lui-même calcule les temps d'écran, bloque certains sites pour les enfants. On est tranquilles sur l'utilisation du Chromebook”.
Cléopâtre Darleux sportive engagée dans la maternité
Ce matin, elle a rendez-vous avec Olivier et sa femme Marine, créateurs d’une marque avec laquelle elle souhaite collaborer. Ensuite direction un studio d’enregistrement. “Bon, alors là, on continue la journée, j’ai fait garder Shéérazade et je pars faire un petit enregistrement d'un livre audio pour Shéérazade. C’est un concept qui s’appelle “Nos chers enfants” et qui permet aux parents d’enregistrer un petit livre audio pour leurs enfants” indique la mère de famille avant d’ajouter : “C'est d'autant plus émouvant que quand on était à l'hôpital je racontais beaucoup d'histoires. Je m'imaginais plus tard lui lire des histoires, qu'elle les comprendrait. Oui, c'est très émouvant parce que ça veut dire qu'elle vit en fait, qu’elle est en vie. Donc, c'est chouette”.
6 conseils pratiques pour mieux vivre son post-partum à la maternité
Après 12 années passées à temps plein en entreprise, Amélie Challeat s’offre une nouvelle vie, qui laisse plus de place à sa vie de famille : “Quand on passe 12 ans à avoir des jobs un peu exigeants dans un grand groupe, on ne s'arrête pas du jour au lendemain. En tout cas, moi, j'ai du mal à décrocher. Maintenant, aujourd'hui, j'aime bien le fait de gérer mon temps, de m'organiser, d'avoir avec le Google Agenda : c'est moi qui fait mon planning dans la journée. J'aime bien ce côté où vraiment je suis libre et je suis libre de passer des moments hyper qualitatifs avec ma fille”.
Aux États-Unis, cette mère se bat pour le congé maternité payé
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Directrice de communication d’un grand groupe de cosmétiques, cheffe d’entreprise, et créatrice d’un compte Instagram sur la maternité, Amélie Challeat est mère de deux enfants. Sur Instagram, elle a notamment partagé les premiers mois de sa fille Shéérazade, née prématurée. “Shéérazade, elle est née extrême prématurée à 26 semaines de grossesse. Elle a passé sept semaines en réanimation et quatre mois à l'hôpital en tout. Ça a été des moments très intenses et très durs où elle était vraiment entre la vie et la mort, où on était collé à la couveuse en réanimation. Elle a besoin de soins, on a entre deux et trois rendez-vous médicaux par semaine. Donc j'ai mis ma carrière sur pause pour passer plus de moments avec elle” explique Amélie Challeat.
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