L'interview complète de Booba
La fusillade pendant le tournage de son clip, l’octogone avec Kaaris, ce qu’il pense d’Emmanuel Macron, sa vie familiale… Pour Brut, Booba répond aux questions de Karim Rissouli.
La fusillade pendant le tournage de son clip, l’octogone avec Kaaris, ce qu’il pense d’Emmanuel Macron, sa vie familiale… Pour Brut, Booba répond aux questions de Karim Rissouli.
Détracteurs, ennemis, Elie, B2O ou Booba affirme en tout cas ne pas être prêt à quitter son trône. Peu de temps après la fusillade lors du tournage de son clip à Aulnay-Sous-Bois, le rappeur est conscient que ses ennemis sont nombreux. Kaaris, Fred de Sky ou encore Damso…S’il ne peut dire qui est à l’origine de la fusillade, il précise néanmoins que « tout se sait ».
Des ennemis nombreux certes, mais le premier d’entre eux pour Booba, c’est Kaaris. Malgré les rumeurs entourant l’octogne, le combat d’art martial prévu entre Kaaris et lui, ce dernier insiste sur la tenue de l’évènement. Il se tiendra le 30 novembre prochain, en Suisse.
Au sujet de la politique française et de la crise des gilets jaunes, Booba est catégorique : « Le peuple je le comprends toujours. Je suis le peuple ». Pour lui, la politique du Président Emmanuel Macron n’est pas à la hauteur de la crise. Il dit comprendre les revendications des gilets jaunes, lui pour qui « l’argent, c’est la liberté ».
Si Booba admet peu parler de politique dans ses chansons, un sujet retient son attention : l’histoire de la colonisation, l’absence de devoir de mémoire de la colonisation. Pour lui une question demeure, « comment peut-on faire ça ? ». Il confie à Karim Rissouli que bien qu’il le fasse, ce n’est pas à lui d’effectuer ce travail de mémoire.
Booba écolo ? En tout cas le rappeur se dit de plus en plus préoccupé par le changement climatique, sans doute, selon lui, depuis qu’il est père. Pas question néanmoins de changer son mode de vie, il considère que c’est aux dirigeants de prendre les mesures nécessaires.
Sur sa fin de carrière, Booba pense bientôt se reconvertir dans d’autres domaines, plus proches de la gestion de sa maison de disques. Encore un, deux albums ? Une chose est sûre, il n’y en aura pas trois autres selon le rappeur.
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Détracteurs, ennemis, Elie, B2O ou Booba affirme en tout cas ne pas être prêt à quitter son trône. Peu de temps après la fusillade lors du tournage de son clip à Aulnay-Sous-Bois, le rappeur est conscient que ses ennemis sont nombreux. Kaaris, Fred de Sky ou encore Damso…S’il ne peut dire qui est à l’origine de la fusillade, il précise néanmoins que « tout se sait ».
Des ennemis nombreux certes, mais le premier d’entre eux pour Booba, c’est Kaaris. Malgré les rumeurs entourant l’octogne, le combat d’art martial prévu entre Kaaris et lui, ce dernier insiste sur la tenue de l’évènement. Il se tiendra le 30 novembre prochain, en Suisse.
Au sujet de la politique française et de la crise des gilets jaunes, Booba est catégorique : « Le peuple je le comprends toujours. Je suis le peuple ». Pour lui, la politique du Président Emmanuel Macron n’est pas à la hauteur de la crise. Il dit comprendre les revendications des gilets jaunes, lui pour qui « l’argent, c’est la liberté ».
Si Booba admet peu parler de politique dans ses chansons, un sujet retient son attention : l’histoire de la colonisation, l’absence de devoir de mémoire de la colonisation. Pour lui une question demeure, « comment peut-on faire ça ? ». Il confie à Karim Rissouli que bien qu’il le fasse, ce n’est pas à lui d’effectuer ce travail de mémoire.
Booba écolo ? En tout cas le rappeur se dit de plus en plus préoccupé par le changement climatique, sans doute, selon lui, depuis qu’il est père. Pas question néanmoins de changer son mode de vie, il considère que c’est aux dirigeants de prendre les mesures nécessaires.
Sur sa fin de carrière, Booba pense bientôt se reconvertir dans d’autres domaines, plus proches de la gestion de sa maison de disques. Encore un, deux albums ? Une chose est sûre, il n’y en aura pas trois autres selon le rappeur.
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