Comment la situation s'est embrasée entre Israéliens et Palestiniens
C’est le pire regain de violences entre Israéliens et Palestiniens depuis des années. Voilà comment la situation s’est embrasée ces derniers jours.
Comment la situation s'est embrasée entre Israéliens et Palestiniens
C’est le pire regain de violences entre Israéliens et Palestiniens depuis des années. Voilà comment la situation s’est embrasée ces derniers jours.
L’étincelle : la revendication de propriété par des famille juives à Cheik Jarrah, Jérusalem
Le 10 février 2021, une décision de justice du tribunal du district de Jérusalem donne raison à des familles juives qui revendiquent des droits de propriété, dans le quartier de Cheik Jarrah. Ce dernier est situé à l’Est de la ville, que l’ONU considère comme faisant partie du territoire palestinien occupé. Selon la loi israélienne, si des juifs peuvent prouver que leur famille vivait à Jérusalem Est avant 1948, ils peuvent demander à ce que leur droit de propriété soit restitué.
Suite aux expulsions, l’escalade de violences entre Israéliens et Palestiniens
Dans la nuit du 3 au 4 mai, des heurts éclatent en marge d’une manifestation de soutien à quatre familles menacées d’expulsion dans la quartier disputé de Cheik Jarrah. Le 7 mai, sur l’esplanade des Mosquées, des affrontements éclatent entre des Palestiniens et des policiers israéliens. Le 9 mai, la justice israélienne reporte l’audience de la Cour Suprême prévue le 10 mai. Elle devait trancher sur le sort des quatre familles palestiniennes menacées d’expulsion à Cheik Jarrah. Le lundi 10 mai, la marche de la “Journée de Jérusalem" est annulée à cause des tensions. Des affrontements ont lieu à la Mosquée al-Aqsa. Le soir même, le Hamas tire des roquettes vers Israël qui en réponse envoie des frappes aériennes sur Gaza. Le lendemain, le Hamas annonce envoyer 130 missiles en direction d'Israël.
Une situation qui pourrait dégénérer
Les Nations Unis craignent que la situation ne dégénère en une “guerre totale” et déploient des moyens inédits pour y remédier.
Comment la situation s'est embrasée entre Israéliens et Palestiniens
C’est le pire regain de violences entre Israéliens et Palestiniens depuis des années. Voilà comment la situation s’est embrasée ces derniers jours.
L’étincelle : la revendication de propriété par des famille juives à Cheik Jarrah, Jérusalem
Le 10 février 2021, une décision de justice du tribunal du district de Jérusalem donne raison à des familles juives qui revendiquent des droits de propriété, dans le quartier de Cheik Jarrah. Ce dernier est situé à l’Est de la ville, que l’ONU considère comme faisant partie du territoire palestinien occupé. Selon la loi israélienne, si des juifs peuvent prouver que leur famille vivait à Jérusalem Est avant 1948, ils peuvent demander à ce que leur droit de propriété soit restitué.
Suite aux expulsions, l’escalade de violences entre Israéliens et Palestiniens
Dans la nuit du 3 au 4 mai, des heurts éclatent en marge d’une manifestation de soutien à quatre familles menacées d’expulsion dans la quartier disputé de Cheik Jarrah. Le 7 mai, sur l’esplanade des Mosquées, des affrontements éclatent entre des Palestiniens et des policiers israéliens. Le 9 mai, la justice israélienne reporte l’audience de la Cour Suprême prévue le 10 mai. Elle devait trancher sur le sort des quatre familles palestiniennes menacées d’expulsion à Cheik Jarrah. Le lundi 10 mai, la marche de la “Journée de Jérusalem" est annulée à cause des tensions. Des affrontements ont lieu à la Mosquée al-Aqsa. Le soir même, le Hamas tire des roquettes vers Israël qui en réponse envoie des frappes aériennes sur Gaza. Le lendemain, le Hamas annonce envoyer 130 missiles en direction d'Israël.
Une situation qui pourrait dégénérer
Les Nations Unis craignent que la situation ne dégénère en une “guerre totale” et déploient des moyens inédits pour y remédier.