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Les dernières zones sauvages de la planète
Elles sont les seules à avoir été préservées de l'activité humaine
Les dernières zones sauvages de la planète sont des régions encore épargnées par les activités humaines, telles que l'agriculture intensive, l'urbanisation et l'industrialisation. Ces espaces naturels, qui n'abritent aucune infrastructure résidentielle ou de transport, sont d'une importance cruciale pour la biodiversité mondiale. Selon les données, cinq pays concentrent à eux seuls ces zones sauvages, totalisant environ 15 millions de kilomètres carrés. La Russie, par exemple, héberge une vaste étendue de terres et de mers sauvages, incluant la forêt boréale, qui est considérée comme l'écosystème le plus préservé sur Terre.
Le massif du Makay à Madagascar, l’une des dernières poches de biodiversité de la planète
Cette forêt joue un rôle essentiel en tant que puits de carbone, retenant un tiers du carbone mondial. Au Canada, la forêt boréale s'étend également, bordant la toundra arctique. Dans cette région, les températures peuvent descendre jusqu'à -34°C en hiver, et l'on y trouve des espèces comme les rennes et les lièvres arctiques. Ces conditions climatiques extrêmes contribuent à la préservation de la biodiversité, car elles limitent l'activité humaine.
Voici les dernières zones sauvages de la planète
L'Australie est un autre pays qui abrite d'immenses zones désertiques, où les conditions climatiques expliquent la faible activité humaine. Les terres et mers sauvages d'Australie couvrent plus de 2,5 millions de kilomètres carrés, offrant un refuge à de nombreuses espèces endémiques. De plus, les États-Unis possèdent également de vastes espaces naturels, avec 37 000 kilomètres carrés protégés par une loi de 1964.
Comment l'être humain a façonné la planète
Cependant, des menaces subsistent, comme l'approbation récente par l'administration Trump d'un forage pétrolier dans certaines zones arctiques. En ce qui concerne l'Amazonie, deux tiers de cette région se trouvent au Brésil, qui abrite entre 50 et 70 % de la biodiversité mondiale. Malheureusement, la déforestation a déjà entraîné la perte de près de 20 % de la surface de cet écosystème. À l'échelle mondiale, ces zones préservées restent rares, car les activités humaines ont déjà affecté 77 % des surfaces hors Antarctique et 87 % des océans.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].
Les dernières zones sauvages de la planète
Elles sont les seules à avoir été préservées de l'activité humaine
Les dernières zones sauvages de la planète sont des régions encore épargnées par les activités humaines, telles que l'agriculture intensive, l'urbanisation et l'industrialisation. Ces espaces naturels, qui n'abritent aucune infrastructure résidentielle ou de transport, sont d'une importance cruciale pour la biodiversité mondiale. Selon les données, cinq pays concentrent à eux seuls ces zones sauvages, totalisant environ 15 millions de kilomètres carrés. La Russie, par exemple, héberge une vaste étendue de terres et de mers sauvages, incluant la forêt boréale, qui est considérée comme l'écosystème le plus préservé sur Terre.
Le massif du Makay à Madagascar, l’une des dernières poches de biodiversité de la planète
Cette forêt joue un rôle essentiel en tant que puits de carbone, retenant un tiers du carbone mondial. Au Canada, la forêt boréale s'étend également, bordant la toundra arctique. Dans cette région, les températures peuvent descendre jusqu'à -34°C en hiver, et l'on y trouve des espèces comme les rennes et les lièvres arctiques. Ces conditions climatiques extrêmes contribuent à la préservation de la biodiversité, car elles limitent l'activité humaine.
Voici les dernières zones sauvages de la planète
L'Australie est un autre pays qui abrite d'immenses zones désertiques, où les conditions climatiques expliquent la faible activité humaine. Les terres et mers sauvages d'Australie couvrent plus de 2,5 millions de kilomètres carrés, offrant un refuge à de nombreuses espèces endémiques. De plus, les États-Unis possèdent également de vastes espaces naturels, avec 37 000 kilomètres carrés protégés par une loi de 1964.
Comment l'être humain a façonné la planète
Cependant, des menaces subsistent, comme l'approbation récente par l'administration Trump d'un forage pétrolier dans certaines zones arctiques. En ce qui concerne l'Amazonie, deux tiers de cette région se trouvent au Brésil, qui abrite entre 50 et 70 % de la biodiversité mondiale. Malheureusement, la déforestation a déjà entraîné la perte de près de 20 % de la surface de cet écosystème. À l'échelle mondiale, ces zones préservées restent rares, car les activités humaines ont déjà affecté 77 % des surfaces hors Antarctique et 87 % des océans.
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Les dernières zones sauvages de la planète
Elles sont les seules à avoir été préservées de l'activité humaine
Les dernières zones sauvages de la planète sont des régions encore épargnées par les activités humaines, telles que l'agriculture intensive, l'urbanisation et l'industrialisation. Ces espaces naturels, qui n'abritent aucune infrastructure résidentielle ou de transport, sont d'une importance cruciale pour la biodiversité mondiale. Selon les données, cinq pays concentrent à eux seuls ces zones sauvages, totalisant environ 15 millions de kilomètres carrés. La Russie, par exemple, héberge une vaste étendue de terres et de mers sauvages, incluant la forêt boréale, qui est considérée comme l'écosystème le plus préservé sur Terre.
Le massif du Makay à Madagascar, l’une des dernières poches de biodiversité de la planète
Cette forêt joue un rôle essentiel en tant que puits de carbone, retenant un tiers du carbone mondial. Au Canada, la forêt boréale s'étend également, bordant la toundra arctique. Dans cette région, les températures peuvent descendre jusqu'à -34°C en hiver, et l'on y trouve des espèces comme les rennes et les lièvres arctiques. Ces conditions climatiques extrêmes contribuent à la préservation de la biodiversité, car elles limitent l'activité humaine.
Voici les dernières zones sauvages de la planète
L'Australie est un autre pays qui abrite d'immenses zones désertiques, où les conditions climatiques expliquent la faible activité humaine. Les terres et mers sauvages d'Australie couvrent plus de 2,5 millions de kilomètres carrés, offrant un refuge à de nombreuses espèces endémiques. De plus, les États-Unis possèdent également de vastes espaces naturels, avec 37 000 kilomètres carrés protégés par une loi de 1964.
Comment l'être humain a façonné la planète
Cependant, des menaces subsistent, comme l'approbation récente par l'administration Trump d'un forage pétrolier dans certaines zones arctiques. En ce qui concerne l'Amazonie, deux tiers de cette région se trouvent au Brésil, qui abrite entre 50 et 70 % de la biodiversité mondiale. Malheureusement, la déforestation a déjà entraîné la perte de près de 20 % de la surface de cet écosystème. À l'échelle mondiale, ces zones préservées restent rares, car les activités humaines ont déjà affecté 77 % des surfaces hors Antarctique et 87 % des océans.
Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].