Les coupures de radars contre la réforme se multiplient
Dans les Ardennes, la CGT revendique l'arrêt de tous les radars du départements les 6 et 7 mars. Mais ce n’est pas le seul département touché. Brut vous fait le point.
La CGT a revendiqué avoir coupé le courant du Stade de France
Les coupures de radars routiers pour protester contre la réforme des retraites se multiplient. Dans les Ardennes, la CGT revendique l'arrêt de tous les radars du département les 6 et 7 mars. Dans les Côtes d'Armor, au moins deux radars ont été coupés le 6 mars selon Ouest-France. En Indre-et-Loire, au moins 5 radars ont été coupés le 8 mars selon France Bleu Touraine. En Mayenne, de très nombreux radars ne fonctionnent plus depuis le 3 mars.
Certains sénateurs questionnent leur propre régime de retraites
La plupart de ces coupures sont revendiquées par la CGT mines énergie qui dans un communiqué national revendique la mise en sobriété de dizaines de radars routiers. Les radars ne sont pas la seule cible visée. Ce jeudi 9 mars, la CGT a par exemple revendiqué avoir coupé le courant du Stade de France et du chantier de village olympique. Le syndicat avait également annoncé qu'il pourrait cibler les permanences d’élus, ce qui est arrivé le 7 mars. Selon Libération, la CGT a ainsi coupé de 15h à 19h l'électricité de la permanence parlementaire de Gérard Larcher, le président LR du Sénat, favorable à la réforme des retraites.
Une chorégraphie contre la réforme des retraites à Paris
Le secrétaire général de la CGT mines énergie a également revendiqué la coupure de courant à Annonay, une ville de l'Ardèche dont le ministre du Travail Olivier Dussopt fut maire de 2008 à 2017. Selon France Bleu, 2400 foyers ont été touchés entre 14h et 16h le 7 mars. Des actes dénoncés par les personnes ciblées. Enedis a également annoncé que des plaintes pourraient être déposées dans certains cas.
Des tensions importantes durant la manifestation contre la réforme des retraites à Paris
La CGT a revendiqué avoir coupé le courant du Stade de France
Les coupures de radars routiers pour protester contre la réforme des retraites se multiplient. Dans les Ardennes, la CGT revendique l'arrêt de tous les radars du département les 6 et 7 mars. Dans les Côtes d'Armor, au moins deux radars ont été coupés le 6 mars selon Ouest-France. En Indre-et-Loire, au moins 5 radars ont été coupés le 8 mars selon France Bleu Touraine. En Mayenne, de très nombreux radars ne fonctionnent plus depuis le 3 mars.
Certains sénateurs questionnent leur propre régime de retraites
La plupart de ces coupures sont revendiquées par la CGT mines énergie qui dans un communiqué national revendique la mise en sobriété de dizaines de radars routiers. Les radars ne sont pas la seule cible visée. Ce jeudi 9 mars, la CGT a par exemple revendiqué avoir coupé le courant du Stade de France et du chantier de village olympique. Le syndicat avait également annoncé qu'il pourrait cibler les permanences d’élus, ce qui est arrivé le 7 mars. Selon Libération, la CGT a ainsi coupé de 15h à 19h l'électricité de la permanence parlementaire de Gérard Larcher, le président LR du Sénat, favorable à la réforme des retraites.
Une chorégraphie contre la réforme des retraites à Paris
Le secrétaire général de la CGT mines énergie a également revendiqué la coupure de courant à Annonay, une ville de l'Ardèche dont le ministre du Travail Olivier Dussopt fut maire de 2008 à 2017. Selon France Bleu, 2400 foyers ont été touchés entre 14h et 16h le 7 mars. Des actes dénoncés par les personnes ciblées. Enedis a également annoncé que des plaintes pourraient être déposées dans certains cas.
Des tensions importantes durant la manifestation contre la réforme des retraites à Paris