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Matthieu Tordeur et son expédition en solitaire au pôle Sud

Parcourir 1150 km en solitaire pour rejoindre le pôle Sud, sans assistance ni ravitaillement. C'est l'exploit réalisé par Matthieu Tordeur - Aventurier. Brut l'a rencontré.
Publié le
02
/
02
/
2019

Parcourir 1150 km en solitaire pour rejoindre le pôle Sud


Matthieu Tordeur, aventurier, a réalisé un exploit impressionnant en parcourant 1150 km en solitaire jusqu'au pôle Sud. Il explique : "Après 51 jours de marche, je suis parti de la côte du continent Antarctique d'un point que s'appelle Herculine jusqu'au pôle Sud, donc en solitaire sans assistance." Cette expédition a été menée sans l'aide de chiens de traîneau ou de matériel motorisé, ce qui a nécessité une autonomie totale. Matthieu a tiré un grand traîneau contenant tout ce dont il avait besoin pour survivre, sans aucune nourriture déposée le long de la route.

Il s'envole à 4000m d'altitude debout sur le ballon d'une montgolfière

Les risques étaient omniprésents dans cette aventure. Matthieu souligne que "les secours sont relatifs dans une expédition en solitaire en Antarctique." En effet, bien qu'il ait eu la possibilité d'appeler un avion pour obtenir de l'aide, cela dépendait entièrement des conditions météorologiques. Les dangers incluent les crevasses, le vent violent et des températures extrêmes, pouvant descendre jusqu'à -80 degrés. Il raconte une expérience particulièrement intense : "J'ai une grosse frayeur le premier jour où je suis tombé dans un trou, jusqu'à la hanche." Cette expérience lui a appris à ne jamais enlever ses skis, car cela augmente le risque de tomber.


Les défis de la vie en autonomie


La vie en autonomie dans des conditions aussi extrêmes est un véritable défi. Matthieu décrit les conditions de vie comme "parties à ton vis dans une tente." Il n'avait pas accès à des douches ou à de l'eau courante, et il a dû faire fondre de la neige pour obtenir de l'eau potable. Il admet : "J'ai pas pris de douche pendant 60 jours." Ce manque de confort physique a été compensé par la beauté des paysages qu'il a découverts, affirmant que c'est "le plus beau paysage du monde" et qu'il a eu la chance de le vivre en solitaire. Pour surmonter la monotonie des journées qui se ressemblent, Matthieu a développé des techniques pour garder son esprit occupé.

Endurance : histoire d'une expédition devenue mythique

Il se fixe des objectifs à court terme, comme écouter de la musique ou savourer un morceau de chocolat. Il explique que cette approche l'aide à éviter de se poser trop de questions. "Je suis parti seul pour avoir le temps de la réflexion," dit-il. À 27 ans, après avoir terminé ses études, il se trouve à un tournant de sa vie et utilise cette expérience pour réfléchir à ses aspirations personnelles. Pour lui, l'aventure ne se limite pas à des exploits géographiques, mais peut aussi inclure des défis personnels tels que "apprendre une nouvelle langue ou même se marier."


Cet article a été adapté par intelligence artificielle à partir d'une vidéo réalisée par nos journalistes, tout en veillant à respecter fidèlement le contenu original. Si toutefois vous souhaitiez partager vos remarques, vous pouvez nous contacter à l'adresse suivante : [email protected].

Matthieu Tordeur et son expédition en solitaire au pôle Sud

Parcourir 1150 km en solitaire pour rejoindre le pôle Sud, sans assistance ni ravitaillement. C'est l'exploit réalisé par Matthieu Tordeur - Aventurier. Brut l'a rencontré.
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Parcourir 1150 km en solitaire pour rejoindre le pôle Sud


Matthieu Tordeur, aventurier, a réalisé un exploit impressionnant en parcourant 1150 km en solitaire jusqu'au pôle Sud. Il explique : "Après 51 jours de marche, je suis parti de la côte du continent Antarctique d'un point que s'appelle Herculine jusqu'au pôle Sud, donc en solitaire sans assistance." Cette expédition a été menée sans l'aide de chiens de traîneau ou de matériel motorisé, ce qui a nécessité une autonomie totale. Matthieu a tiré un grand traîneau contenant tout ce dont il avait besoin pour survivre, sans aucune nourriture déposée le long de la route.

Il s'envole à 4000m d'altitude debout sur le ballon d'une montgolfière

Les risques étaient omniprésents dans cette aventure. Matthieu souligne que "les secours sont relatifs dans une expédition en solitaire en Antarctique." En effet, bien qu'il ait eu la possibilité d'appeler un avion pour obtenir de l'aide, cela dépendait entièrement des conditions météorologiques. Les dangers incluent les crevasses, le vent violent et des températures extrêmes, pouvant descendre jusqu'à -80 degrés. Il raconte une expérience particulièrement intense : "J'ai une grosse frayeur le premier jour où je suis tombé dans un trou, jusqu'à la hanche." Cette expérience lui a appris à ne jamais enlever ses skis, car cela augmente le risque de tomber.


Les défis de la vie en autonomie


La vie en autonomie dans des conditions aussi extrêmes est un véritable défi. Matthieu décrit les conditions de vie comme "parties à ton vis dans une tente." Il n'avait pas accès à des douches ou à de l'eau courante, et il a dû faire fondre de la neige pour obtenir de l'eau potable. Il admet : "J'ai pas pris de douche pendant 60 jours." Ce manque de confort physique a été compensé par la beauté des paysages qu'il a découverts, affirmant que c'est "le plus beau paysage du monde" et qu'il a eu la chance de le vivre en solitaire. Pour surmonter la monotonie des journées qui se ressemblent, Matthieu a développé des techniques pour garder son esprit occupé.

Endurance : histoire d'une expédition devenue mythique

Il se fixe des objectifs à court terme, comme écouter de la musique ou savourer un morceau de chocolat. Il explique que cette approche l'aide à éviter de se poser trop de questions. "Je suis parti seul pour avoir le temps de la réflexion," dit-il. À 27 ans, après avoir terminé ses études, il se trouve à un tournant de sa vie et utilise cette expérience pour réfléchir à ses aspirations personnelles. Pour lui, l'aventure ne se limite pas à des exploits géographiques, mais peut aussi inclure des défis personnels tels que "apprendre une nouvelle langue ou même se marier."


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Matthieu Tordeur et son expédition en solitaire au pôle Sud

Parcourir 1150 km en solitaire pour rejoindre le pôle Sud, sans assistance ni ravitaillement. C'est l'exploit réalisé par Matthieu Tordeur - Aventurier. Brut l'a rencontré.
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Parcourir 1150 km en solitaire pour rejoindre le pôle Sud


Matthieu Tordeur, aventurier, a réalisé un exploit impressionnant en parcourant 1150 km en solitaire jusqu'au pôle Sud. Il explique : "Après 51 jours de marche, je suis parti de la côte du continent Antarctique d'un point que s'appelle Herculine jusqu'au pôle Sud, donc en solitaire sans assistance." Cette expédition a été menée sans l'aide de chiens de traîneau ou de matériel motorisé, ce qui a nécessité une autonomie totale. Matthieu a tiré un grand traîneau contenant tout ce dont il avait besoin pour survivre, sans aucune nourriture déposée le long de la route.

Il s'envole à 4000m d'altitude debout sur le ballon d'une montgolfière

Les risques étaient omniprésents dans cette aventure. Matthieu souligne que "les secours sont relatifs dans une expédition en solitaire en Antarctique." En effet, bien qu'il ait eu la possibilité d'appeler un avion pour obtenir de l'aide, cela dépendait entièrement des conditions météorologiques. Les dangers incluent les crevasses, le vent violent et des températures extrêmes, pouvant descendre jusqu'à -80 degrés. Il raconte une expérience particulièrement intense : "J'ai une grosse frayeur le premier jour où je suis tombé dans un trou, jusqu'à la hanche." Cette expérience lui a appris à ne jamais enlever ses skis, car cela augmente le risque de tomber.


Les défis de la vie en autonomie


La vie en autonomie dans des conditions aussi extrêmes est un véritable défi. Matthieu décrit les conditions de vie comme "parties à ton vis dans une tente." Il n'avait pas accès à des douches ou à de l'eau courante, et il a dû faire fondre de la neige pour obtenir de l'eau potable. Il admet : "J'ai pas pris de douche pendant 60 jours." Ce manque de confort physique a été compensé par la beauté des paysages qu'il a découverts, affirmant que c'est "le plus beau paysage du monde" et qu'il a eu la chance de le vivre en solitaire. Pour surmonter la monotonie des journées qui se ressemblent, Matthieu a développé des techniques pour garder son esprit occupé.

Endurance : histoire d'une expédition devenue mythique

Il se fixe des objectifs à court terme, comme écouter de la musique ou savourer un morceau de chocolat. Il explique que cette approche l'aide à éviter de se poser trop de questions. "Je suis parti seul pour avoir le temps de la réflexion," dit-il. À 27 ans, après avoir terminé ses études, il se trouve à un tournant de sa vie et utilise cette expérience pour réfléchir à ses aspirations personnelles. Pour lui, l'aventure ne se limite pas à des exploits géographiques, mais peut aussi inclure des défis personnels tels que "apprendre une nouvelle langue ou même se marier."


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