Les assaillants étaient "un ramassis de pieds nickelés"

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🇹🇩 Au Tchad, le porte-parole du gouvernement, Abderaman Koulamallah, est revenu sur l'attaque au palais présidentiel qui a fait 19 morts selon le gouvernement. Il assure que la situation est totalement maîtrisée. Voici ce qu'il a dit.
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Détails de l'attaque au palais présidentiel


Abderaman Koulamallah, porte-parole du gouvernement tchadien, a fourni des détails sur l'attaque qui a eu lieu au palais présidentiel, faisant 19 morts selon les autorités. Il explique que l'incident a impliqué "25 attaquants, 24 plus précisément", décrivant ces individus comme "un ramassis de bandes nuclées". Ils étaient armés de "coupes-coupes" et de "couteaux" et se déplaçaient à bord d'un véhicule connu sous le nom de DINA. Selon Koulamallah, "le véhicule a semblé être en panne devant la présidence", ce qui a permis aux assaillants de descendre et d'attaquer les gardes présents.

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Il précise que "quatre gardes étaient présents" au moment de l'attaque, dont un a été tué et un autre gravement blessé. Après avoir pénétré à l'intérieur du palais, un des gardes a ouvert le feu, ce qui a alerté les autres gardes. Grâce à leur vigilance, les assaillants ont été "très facilement maîtrisés". Koulamallah mentionne également que les assaillants étaient sous l'influence de l'alcool et de drogues, affirmant qu'ils avaient "beaucoup d'alcool, des petites bouteilles d'eau remplies d'alcool".


Réactions et mesures de sécurité


Suite à l'attaque, Abderaman Koulamallah a rassuré les Tchadiens en affirmant que "la situation est totalement maîtrisée". Il a souligné que les forces de sécurité avaient rapidement réagi pour contenir la menace. En ce qui concerne les assaillants, il a déclaré qu'il y avait eu "18 morts de leur côté" et que six autres étaient entre les mains des forces de la justice.

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Koulamallah a également noté que les assaillants venaient d'un quartier de la ville d'Undiamena, sans toutefois révéler le nom pour des raisons d'enquête. Il a qualifié leur tentative d'attaque de "désordonnée, complètement incompréhensible", ajoutant qu'ils n'avaient "aucune arme de guerre". En réponse à l'incident, il a indiqué que le "dispositif militaire autour de la présidence a été élevé", renforçant ainsi la sécurité.


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