Les deux premiers suspects ont adopté une seule stratégie de défense : le silence.
Selon Le Parisien, depuis samedi soir, ils sont interrogés dans les locaux de la brigade de répression du banditisme de la police judiciaire parisienne.
Les deux hommes étaient déjà connus de la justice. C’est d’ailleurs comme ça qu’ils se sont fait retrouver. Leur ADN était inscrit dans le fichier national.
Le premier a laissé des cheveux dans son casque de moto abandonné lors de la fuite. Et le second doit son interpellation à un gilet jaune, qu’il aurait laissé tout, comme le casque, dans la rue, et qu'un témoin a récupéré, toujours selon le Parisien.
Les bijoux et les deux autres complices de ce cambriolage sont toujours recherchés par la police.








