Un jour avec Superlumos
Amour de soi, bodypositivisme, santé mentale... Sur les réseaux sociaux, Superlumos parle des sujets qui lui tiennent à coeur. Tiktokeur, auteur-réalisateur, chargé de projet... Au quotidien, Ayoub a plusieurs vies. Brut l'a suivi, le temps d'une journée. En partenariat avec Chromebook.
Brut a passé la journée avec Ayoub, plus connu sous le nom de Superlumos sur les réseaux sociaux. Il est tiktokeur, créateur de contenu lifestyle et il conseille aussi des entreprises sur des stratégies digitales sur les réseaux sociaux, pour faire la promotion de produits ou de services. “J'emmène les gens dans mon quotidien avec des vlogs. Je suis tout le temps avec mon téléphone. Je raconte où est-ce que je vais, ce que je fais, ce que je mange... Les moments de vie que moi je filme au quotidien sont en réalité des prétextes pour parler de sujets un peu plus concrets et sérieux comme par exemple la santé mentale, le body positivisme, l'amour de soi, etc.” explique Superlumos.
Caroline, mannequin lingerie et créatrice de contenu senior
“J'ai TikTok, Instagram et plein d'autres applis sur mon Chromebook. Je les ai téléchargées directement sur le Play Store et c'est ça qui est hyper pratique : je peux ouvrir plein de fenêtres différentes de tous mes réseaux sociaux et là, je les mets côte-à-côte et je scrolle les deux, ça me fait gagner un temps fou”. Sa communauté, il la décrit comme “hyper jeune. Je sens quand même que dans cette génération-là, il y a beaucoup d'espoir. C'est les gens hyper woke, qui sont hyper ouverts d'esprit, ils comprennent très rapidement aussi les choses et les problématiques de notre société d'aujourd'hui. J'essaie de faire du contenu bienveillant, moi-même, mais aussi vis-à-vis de ma communauté. J'ai l'impression qu'ils me le rendent hyper bien. Si tu regardes les commentaires sur mes vidéos, 99 % du temps, c'est des trucs hyper gentils” indique Superlumos.
Qui suis-je ? (sur les réseaux sociaux) - Brut philo
Depuis 5 ans maintenant, Superlumos réalise son premier documentaire sur le thème du deuil. En milieu d’après-midi, il retrouve l’une de ses meilleures amies qui est aussi la coautrice et coréalisatrice, et avec la productrice, pour travailler sur l’écriture du film. “Moi, ce que j'aime trop avec le travail de documentaire, c'est que j'ai toujours aimé écrire, filmer et surtout raconter le réel, et ce projet-là, au long cours, ça me permet vraiment de faire tout ça” ajoute Superlumos.
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“J'ai TikTok, Instagram et plein d'autres applis sur mon Chromebook. Je les ai téléchargées directement sur le Play Store et c'est ça qui est hyper pratique : je peux ouvrir plein de fenêtres différentes de tous mes réseaux sociaux et là, je les mets côte-à-côte et je scrolle les deux, ça me fait gagner un temps fou”. Sa communauté, il la décrit comme “hyper jeune. Je sens quand même que dans cette génération-là, il y a beaucoup d'espoir. C'est les gens hyper woke, qui sont hyper ouverts d'esprit, ils comprennent très rapidement aussi les choses et les problématiques de notre société d'aujourd'hui. J'essaie de faire du contenu bienveillant, moi-même, mais aussi vis-à-vis de ma communauté. J'ai l'impression qu'ils me le rendent hyper bien. Si tu regardes les commentaires sur mes vidéos, 99 % du temps, c'est des trucs hyper gentils” indique Superlumos.
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