Une vie : Arnold Schwarzenegger
Voici l'histoire d'un enfant autrichien devenu Mister Univers, le Terminator et gouverneur de Californie. Voici l'histoire d'Arnold Schwarzenegger.
Arnold Schwarzenegger, icône populaire et homme politique
Mister Univers, Terminator, gouverneur de Californie… Arnold Schwarzenegger aurait-il tout fait ?
Le parcours d’Arnold Schwarzenegger a fait de lui une icône populaire. La super star mondiale n’a pourtant pas eu un départ facile. Car pendant longtemps, pour l’acteur, « rester affamé » a été une philosophie de vie.
Un père violent et nazi
Né en 1947 en Autriche, Arnold Schwarzenegger subit des violences de la part de son père, ancien membre du parti nazi. À 14 ans, il découvre l’histoire d’un champion de culturisme devenu acteur et décide de s’en inspirer. Six ans plus tard, c’est le début du succès : Arnold Schwarzenegger remporte le titre de Mister Univers.
Le triomphe continue, lorsque, quelques années plus tard, Arnold Schwarzenegger entre dans l’histoire du cinéma en incarnant Terminator sur le grand écran. « Des gens disaient que ce n’était pas possible. Aujourd’hui je suis l’acteur le mieux payé au monde » raconte-t-il. Puis, subitement, la carrière d’Arnold Schwarzenegger prend un nouveau tournant.
Engagé pour l’écologie
À la fin des années 1990, Arnold Schwarzenegger se tourne vers la politique. C’est sous l'étiquette du parti républicain que la star de cinéma devient gouverneur de Californie : « Je veux tendre la main à tout le monde, aux gens de toutes les religions, de toutes les couleurs et de toutes nationalités », déclare-t-il à l’époque.
Engagé pour l’écologie, Arnold Schwarzenegger fonde une association qui milite pour le défense de l’environnement. Lors d’un sommet sur le climat à Vienne notamment, l'homme politique apporte son soutien à la militante écologiste Greta Thunberg : « Quand ils te disent que tu es folle, Greta, rappelle-toi : continue à agir. Ne les écoute pas ».
Arnold Schwarzenegger n’hésite pas, par ailleurs à s’opposer violemment au Président américain Donald Trump. « Il est comme Terminator, il veut “terminer” tout l’espoir pour l’avenir », affirme-t-il.

Arnold Schwarzenegger, icône populaire et homme politique
Mister Univers, Terminator, gouverneur de Californie… Arnold Schwarzenegger aurait-il tout fait ?
Le parcours d’Arnold Schwarzenegger a fait de lui une icône populaire. La super star mondiale n’a pourtant pas eu un départ facile. Car pendant longtemps, pour l’acteur, « rester affamé » a été une philosophie de vie.
Un père violent et nazi
Né en 1947 en Autriche, Arnold Schwarzenegger subit des violences de la part de son père, ancien membre du parti nazi. À 14 ans, il découvre l’histoire d’un champion de culturisme devenu acteur et décide de s’en inspirer. Six ans plus tard, c’est le début du succès : Arnold Schwarzenegger remporte le titre de Mister Univers.
Le triomphe continue, lorsque, quelques années plus tard, Arnold Schwarzenegger entre dans l’histoire du cinéma en incarnant Terminator sur le grand écran. « Des gens disaient que ce n’était pas possible. Aujourd’hui je suis l’acteur le mieux payé au monde » raconte-t-il. Puis, subitement, la carrière d’Arnold Schwarzenegger prend un nouveau tournant.
Engagé pour l’écologie
À la fin des années 1990, Arnold Schwarzenegger se tourne vers la politique. C’est sous l'étiquette du parti républicain que la star de cinéma devient gouverneur de Californie : « Je veux tendre la main à tout le monde, aux gens de toutes les religions, de toutes les couleurs et de toutes nationalités », déclare-t-il à l’époque.
Engagé pour l’écologie, Arnold Schwarzenegger fonde une association qui milite pour le défense de l’environnement. Lors d’un sommet sur le climat à Vienne notamment, l'homme politique apporte son soutien à la militante écologiste Greta Thunberg : « Quand ils te disent que tu es folle, Greta, rappelle-toi : continue à agir. Ne les écoute pas ».
Arnold Schwarzenegger n’hésite pas, par ailleurs à s’opposer violemment au Président américain Donald Trump. « Il est comme Terminator, il veut “terminer” tout l’espoir pour l’avenir », affirme-t-il.