Gravement brûlée, Julie Bourges parle de sa reconstruction
Gravement brûlée à 16 ans après un accident, l'influenceuse française Julie Bourges, plus connue sous le nom de Douze Février, se reconstruit peu à peu grâce au regard des autres. Voici les jours d'après de Douze Février.
Que sont-ils devenus : Julie Bourges, la reconstruction d’une grande brûlée
Adolescente, Julie Bourges a été brûlée sur 40 % du corps. Elle est ensuite passée par plusieurs phases avant d’accepter son apparence. Aujourd’hui, elle souhaite aider les autres grands brûlés à travers son compte Instagram, Douze Février.
Le 12 février 2012, la vie de Julie Bourges, 16 ans, bascule. Avec sa meilleure amie, elle décide de se déguiser en mouton pour le carnaval du lycée. Leurs costumes sont faits de boules de coton. En fin de journée, alors qu’elle allume une cigarette, le costume de Julie s’enflamme. Elle se souvient encore de chaque instant de l’accident.
« J’étais tout ce qu’il y a de plus normal »
Brut avait déjà rencontré Julie Bourges en 2018. À l’époque, elle venait de se lancer sur Instagram. « Je voulais savoir ce que des personnes extérieures pensaient réellement de ces cicatrices. J’ai fait le pari risqué de croire que les réseaux pouvaient avoir du bon. Et je me suis pas trompée », affirmait-elle.
Avant son accident, Julie n’avait jamais été exposée au regard des autres. « J’étais tout ce qu’il y a de plus normal. J’étais une jeune fille complètement dans les normes. J’étais gymnaste, super fine, j’avais des longs cheveux blonds, les yeux bleus, une peau parfaite, pas de boutons », se souvient-elle.
Un exemple pour d’autres
« Aujourd’hui, en fait, presque malgré moi, j’ai un peu ce rôle de docteure et de psychologue sur Instagram », constate Julie Bourges. En 2013, quand elle faisait des recherches sur internet, elle ne trouvait rien sur les grands brûlés. En rendant son histoire publique, elle espère aider les personnes qui traversent le même parcours.
« Aujourd’hui, si une adolescente de 16 ans est accidentée, qu’elle est brûlée et qu’elle fait des recherches, elle va potentiellement tomber sur ce que j’ai fait. Elle va tomber sur mon compte, elle va même tomber sur mes collaborations avec certaines marques et elle va peut-être se dire : “OK bah, si elle l’a fait, moi aussi je peux le faire.” »

Que sont-ils devenus : Julie Bourges, la reconstruction d’une grande brûlée
Adolescente, Julie Bourges a été brûlée sur 40 % du corps. Elle est ensuite passée par plusieurs phases avant d’accepter son apparence. Aujourd’hui, elle souhaite aider les autres grands brûlés à travers son compte Instagram, Douze Février.
Le 12 février 2012, la vie de Julie Bourges, 16 ans, bascule. Avec sa meilleure amie, elle décide de se déguiser en mouton pour le carnaval du lycée. Leurs costumes sont faits de boules de coton. En fin de journée, alors qu’elle allume une cigarette, le costume de Julie s’enflamme. Elle se souvient encore de chaque instant de l’accident.
« J’étais tout ce qu’il y a de plus normal »
Brut avait déjà rencontré Julie Bourges en 2018. À l’époque, elle venait de se lancer sur Instagram. « Je voulais savoir ce que des personnes extérieures pensaient réellement de ces cicatrices. J’ai fait le pari risqué de croire que les réseaux pouvaient avoir du bon. Et je me suis pas trompée », affirmait-elle.
Avant son accident, Julie n’avait jamais été exposée au regard des autres. « J’étais tout ce qu’il y a de plus normal. J’étais une jeune fille complètement dans les normes. J’étais gymnaste, super fine, j’avais des longs cheveux blonds, les yeux bleus, une peau parfaite, pas de boutons », se souvient-elle.
Un exemple pour d’autres
« Aujourd’hui, en fait, presque malgré moi, j’ai un peu ce rôle de docteure et de psychologue sur Instagram », constate Julie Bourges. En 2013, quand elle faisait des recherches sur internet, elle ne trouvait rien sur les grands brûlés. En rendant son histoire publique, elle espère aider les personnes qui traversent le même parcours.
« Aujourd’hui, si une adolescente de 16 ans est accidentée, qu’elle est brûlée et qu’elle fait des recherches, elle va potentiellement tomber sur ce que j’ai fait. Elle va tomber sur mon compte, elle va même tomber sur mes collaborations avec certaines marques et elle va peut-être se dire : “OK bah, si elle l’a fait, moi aussi je peux le faire.” »