Paris: des centaines de passagers dans les tunnels du métro
Des passagers bloqués 2 heures dans le métro parisien : voici ce qu’il s’est passé.
Des passagers bloqués sur la ligne 4 dans le métro de Paris
Des passagers sont restés bloqués deux heures dans le métro parisien “en pleine heure de pointe” alors qu’il “faisait extrêmement chaud”. Selon la RATP, “5 rames très pleines” sont restées bloquées dans le tunnel de la ligne 4 à partir de 19 h 25. Au bout de 20 minutes, “certains voyageurs ont évacué spontanément leur métro", indique la RATP.
Pourquoi les métros sont-ils bondés?
Plus de 2 heures d’attente
Interrogée par le Parisien, la directrice des “Services Ferrés” au sein de la RATP, Agnès Ogier, “comprend” ce geste d’ordinaire “à prohiber” au vu des circonstances “exceptionnelles”. L’incident est survenu “en pleine heure de pointe dans des conditions spécialement difficiles pour les passagers”, alors que les rames étaient surchauffées. La plupart des passagers sont restés bloqués un long moment dans des trains bondés, souvent sans eau ni climatisation, parfois pendant deux heures. Bloqués entre deux stations, les voyageurs ont été contraints à attendre à l'intérieur des rames avant de pouvoir être évacués. Des navettes ont progressivement été envoyées par la RATP.
Une nuit avec des graffeurs dans le métro de Paris
Un trafic reprit aux alentours de 22 heures
À 21 h 30, l'ensemble des passagers était évacué. Bien que les pompiers aient été immobilisés, aucun blessé n’a été signalé. À 22 h 15, le trafic a repris sur l'ensemble de la ligne 4. Selon la RATP, cet “incident exceptionnel” dans “des conditions hors normes qui n'arrivent quasiment jamais” fait suite à une avarie sur un train, vers 18 h 20. La RATP n’en dit pas plus sur l’incident et n’a pas communiqué le nombre de personnes bloquées. France Bleu Paris évoque “plusieurs centaines de passagers”. Le PDG de la RATP, l’ancien Premier ministre Jean Castex, a demandé une enquête en interne pour déterminer les éléments générateurs de l’incident et “analyser la façon dont il a été traité” pour qu’un tel incident ne se reproduise pas alors que les JO de 2024 approchent.
Des passagers bloqués sur la ligne 4 dans le métro de Paris
Des passagers sont restés bloqués deux heures dans le métro parisien “en pleine heure de pointe” alors qu’il “faisait extrêmement chaud”. Selon la RATP, “5 rames très pleines” sont restées bloquées dans le tunnel de la ligne 4 à partir de 19 h 25. Au bout de 20 minutes, “certains voyageurs ont évacué spontanément leur métro", indique la RATP.
Pourquoi les métros sont-ils bondés?
Plus de 2 heures d’attente
Interrogée par le Parisien, la directrice des “Services Ferrés” au sein de la RATP, Agnès Ogier, “comprend” ce geste d’ordinaire “à prohiber” au vu des circonstances “exceptionnelles”. L’incident est survenu “en pleine heure de pointe dans des conditions spécialement difficiles pour les passagers”, alors que les rames étaient surchauffées. La plupart des passagers sont restés bloqués un long moment dans des trains bondés, souvent sans eau ni climatisation, parfois pendant deux heures. Bloqués entre deux stations, les voyageurs ont été contraints à attendre à l'intérieur des rames avant de pouvoir être évacués. Des navettes ont progressivement été envoyées par la RATP.
Une nuit avec des graffeurs dans le métro de Paris
Un trafic reprit aux alentours de 22 heures
À 21 h 30, l'ensemble des passagers était évacué. Bien que les pompiers aient été immobilisés, aucun blessé n’a été signalé. À 22 h 15, le trafic a repris sur l'ensemble de la ligne 4. Selon la RATP, cet “incident exceptionnel” dans “des conditions hors normes qui n'arrivent quasiment jamais” fait suite à une avarie sur un train, vers 18 h 20. La RATP n’en dit pas plus sur l’incident et n’a pas communiqué le nombre de personnes bloquées. France Bleu Paris évoque “plusieurs centaines de passagers”. Le PDG de la RATP, l’ancien Premier ministre Jean Castex, a demandé une enquête en interne pour déterminer les éléments générateurs de l’incident et “analyser la façon dont il a été traité” pour qu’un tel incident ne se reproduise pas alors que les JO de 2024 approchent.