Grève du 31 janvier contre la réforme des retraites
Les manifestations contre la réforme des retraites dans les grandes villes se sont poursuivies le 31 janvier. Plus de manifestants étaient mobilisés que durant la grève du 19 janvier.
Entre 1,3 et 2,8 millions de manifestants
Ce 31 janvier, les manifestants sont descendus dans les rues des grandes villes françaises pour marquer leur opposition à la réforme des retraites. Paris, Grenoble, Toulouse et Toulon ont été marquées par un jour de grève. C’était aussi le cas à Montpellier, au Havre, Rennes Marseille, Bordeaux et Rouen. Selon la CGT, 2,8 millions de personnes ont manifesté contre 1,27 million selon le ministère de l’Intérieur. Deux nouvelles journées de mobilisation des retraites sont prévues pour les 7 et 11 février 2023.
Retraites : ils sont jeunes, pourquoi ils ont manifesté ?
La Première ministre, Elisabeth Borne, a présenté le 10 janvier dernier son projet de réforme des retraites. Il comprenait notamment une proposition de faire passer l’âge légal de départ de 62 à 64 ans, en raison d’un trimestre supplémentaire par génération ; d’accélérer l’allongement de cotisation requise pour bénéficier d’une retraite à taux plein, qui sera portée à 43 ans d’ici à 2027 au lieu de 2035 comme le prévoyait la réforme Touraine en 2014 ; et de revaloriser les pensions minimales à 1200 euros.
Entre 1,3 et 2,8 millions de manifestants
Ce 31 janvier, les manifestants sont descendus dans les rues des grandes villes françaises pour marquer leur opposition à la réforme des retraites. Paris, Grenoble, Toulouse et Toulon ont été marquées par un jour de grève. C’était aussi le cas à Montpellier, au Havre, Rennes Marseille, Bordeaux et Rouen. Selon la CGT, 2,8 millions de personnes ont manifesté contre 1,27 million selon le ministère de l’Intérieur. Deux nouvelles journées de mobilisation des retraites sont prévues pour les 7 et 11 février 2023.
Retraites : ils sont jeunes, pourquoi ils ont manifesté ?
La Première ministre, Elisabeth Borne, a présenté le 10 janvier dernier son projet de réforme des retraites. Il comprenait notamment une proposition de faire passer l’âge légal de départ de 62 à 64 ans, en raison d’un trimestre supplémentaire par génération ; d’accélérer l’allongement de cotisation requise pour bénéficier d’une retraite à taux plein, qui sera portée à 43 ans d’ici à 2027 au lieu de 2035 comme le prévoyait la réforme Touraine en 2014 ; et de revaloriser les pensions minimales à 1200 euros.