Le député Maxime Minot s'exprime sur les personnes condamnées pour homosexualité entre 1945 et 1982

"Pédale, tantouze, baltringue, tapette… les injures se succédaient avec les coups, et mon silence, toujours." Hier, l’Assemblée nationale a voté à l’unanimité la loi mémorielle visant à offrir réparation aux personnes condamnées pour homosexualité entre 1945 et 1982. Voici les mots du député LR Maxime Minot.

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Brut.